Du 15 Novembre 2023 au 14 Janvier 2024

« Notre paysage est son propre monument »

Édouard Glissant, l’Intention poétique, 1969.

© (détail) : Léonard Pongo

8ème édition

Biennale internationale des Rencontres Photographiques de Guyane

du 15 novembre 2023 au 14 janvier 2024

  • Des expositions

    Comme de coutume, nous avons eu à cœur durant ces deux années de préparation d’élaborer une programmation en lien avec le territoire. 14 expositions gratuites à Cayenne, Rémire-Montjoly, aux Îles du Salut, Awala-Yalimapo et Saint-Laurent du Maroni.

  • Des rendez-vous

    Du 15 au 22 novembre, venez nous rejoindre pour l’ouverture de la 8e édition de la biennale avec 8 premiers jours d’événements différents : vernissages, conférences, projections, visites guidées…

  • Des visites guidées

    Du 15 novembre au 9 décembre notre équipe de médiation vous propose comme d’habitude des visites guidées gratuites et sur réservation. Que ça soit pour un public scolaire, une association, une entreprise ou un groupe d’ami·e·s, n’hésitez pas.

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Un projet porté par l’association

Créée en 2012 pour porter le festival des Rencontres Photographiques de Guyane, l’association La Tête Dans les Images a pour vocation de promouvoir la photographie dans la région et au-delà.

Elle s’investit aussi depuis 2014 dans l’éducation artistique et culturelle pour les jeunes au travers de visites guidées d’expositions, d’ateliers longs, d’interventions courtes et de rencontres avec des photographes professionnel·le·s d’ici et d’ailleurs. L’association a mené des actions d’éducation artistique et culturelle auprès de jeunes à Cayenne, Rémire-Montjoly, Kourou, Saint-Laurent du Maroni, Awala-Yalimapo, Maripasoula, Cacao, Camopi. Aux quatre coins d’un territoire grand comme le Portugal, l’accès aux villages éloignés, souvent compliqué, se fait par avion ou en pirogue.

En 2015, La Tête Dans les Images a affiché sa volonté de contribuer à la préservation d’un patrimoine photographique guyanais quasi-oublié et souvent en voie de détérioration rapide à cause du climat équatorial. Des clichés provenant du travail de photographes régionaux·les de talent ont ainsi été redécouverts et valorisés. Cet axe, qui existe depuis les premières éditions du festival, s’est amplifié au fil du temps. L’association a ainsi pu mettre en avant nombre de travaux originaux pour qu’ils s’inscrivent dans le paysage photographique français, amazonien et sud-américain.

En 2024, la Maison de la photographie de Guyane-Amzonie doit voir le jour à Rémire-Montjoly pour faire rayonner avec plus d'intensité la photographie sur le territoire guyanais.